Conséquences sanitaires

La NASA et l’épineuse question de la dangerosité des INFRASONS


Les éoliennes modernes de grande puissance ont été développées par la NASA suite au choc du pétrole. Or, en 1982, 1985 et 1987 des médecins travaillant pour le Department of Energy des Etats Unis ont relevé des problèmes de santé liés aux bruits pulsés et aux infrasons (inaudibles).

A proposed metric for assessing the potential of community annoyance from wind turbine low-
frequency noise emissions

N.D. Kelley, Solar Energy Research Institute, Colorado 1987

Vous pouvez accéder à cet article via le site de la Waubra Foundation.

Suite à ces études la conception des éoliennes a été changée pour réduire l’impacte sur la santé des riverains. On a remplacé les modèles fonctionnant « downwind » par des modèles « upwind ».

Mais 2 années plus tard (1989) une étude de la NASA publié par Sheperd and Hubbard démontre que les nouveaux modèles produisent également des niveaux très élevés d’infrasons et de sons de basse fréquence et ne sont donc pas moins nuisibles que les anciens.

L’industrie éolienne a cependant réussi à maintenir le mensonge sur l’innocuité des modèles
modernes (downwind).

En France l’Agence nationale de sécurité sanitaire ANSES a été saisi pour évaluer les effets des basses fréquences sonores et infrasons dus aux parcs éoliens.

L’ANSES admet :

  • que les éoliennes sont des sources de bruit dont la part des infrasons et basses fréquences sonores prédominent.
    Ce n’est certainement pas un hasard si ce sont juste ces fréquences-là qui ne sont pas pris en compte par la législation française.
  • Que la taille du rotor de l’éolienne augmente le niveau sonore –
    Autrement dit : les modèles modernes, de plus en plus grands, deviennent de plus en plus nocifs (une éolienne moderne a à peu près 10 fois la puissance d’une éolienne de première génération).